Background de Gladiatorusrex

Ma naissance.
Mon père est pas la.

J'ai grandi avec ma mère, elle m'a mis au monde, je me souviens, pendant la canicule d'un beau jour d'hiver.
-ver.
Thermosthat 325°K, 1.2bar. La premiere chose que je vis était un faucon voler dans le ciel. Enfin, un faucon, un vautour, ou même un toutou ailé ou carrément audrey, toujours est-il que j'en fus profondément marqué. En l'espèce d'une seconde et 23microsecondes, je réalisai que je venais d'être pondu dans la nature. Puis j'entendis gémir ma mère:
"aaargh, mon fils...tu es si moche
-gné, pour la peine je mettrais du temps a sortir
-je n'ai plus beaucoup de temps devant moi
-tu vas deja mourir?
-non, je fais une sieste, on se voit plus tard."
D'un putain de gnnnnnn, elle mit les coudes en canard (bah oui je savais loucher, c'était mon don inné) et des coudes a hauteur d'épaule les rabattit le long de son corps.
Ca yest, j'étais né. Cela dit, je n'avais pas encore de nom. Afin de ne pas déranger ma mère dans sa sieste, je décidai de me balader dans la foret, a la recherche d'un macaque a buter pour me faire un string en poil de macaque. En voila un, je commence a le courser, mais cet enculé ne bouge pas! il me fixe! il me met la pression, alors que c'est moi qui est censé la lui mettre. Je tente une intimidation, mais putain de connard d'échec critique. Finalement, je suis obligé d'utiliser mon second don: /oups . Ma première bestiole était tuée. Je dépeçais sa peau afin de me faire un semblant de cache-parties, et cache-cul aussi.
Quand je revins, a l'endroit ou elle m'avait pondu, elle n'était plus la. C'est pas possible de faire une sieste si courte. Suis-je bête! je n'ai qu'a la suivre avec les trainées de sang. Pas de sang. Ce fus un moment intense de réflexion. Entre réfléchir sur le problème de la disparition de ma mère, et l'autre macaque, enfin babouin désormais, qui me donnait faim. KROM! je n'étais pas au bon endroit. Je commençai a chercher partout dans la foret. En fait, je crois que j'en cherchais la sortie tellement j'étais paumé. Bon, au bout d'un moment je la retrouve (dans la foret).
"Ah fils, que je suis heureuse de te voir
-je croyais que j'étais laid
-tu pourras me rapporter du sanglier, a chaque fois je me fais embrocher quand j'essaie d'en tuer un, mais peut être sera tu capable de me rapporter ses tripes, il n'y a rien de plus goutu. Des bonnes tripailles de sanglier
-ca fart mère
-gné
-au fait, comment je m'appèle?
-je ne sais plus
-hein?
-ton père m'a dit, mais je ne sais plus
-il t'a dit quoi?
-je ne sais plus
-il t'a dit "je ne sais plus"?
-bon, va buter du sanglier
-ok, au fait
-oui?
-comment je m'appèle?"
[...]


Après avoir pris une gauche puis une droite, j'étais dans les cordes, j'encaisse j'encaisse! une furie ma mère. Puis, ma tete ressemblant a un dodecagone, ma mère du m'aider a marcher jusqu'a la maison, pour soigner mes blessures.

Mon enfance

Magnifique maison, une cabane. Au fond du jardin en plus. Perchée entre deux chênes, elle demeurait la, de 3msur3m pour une cote de 2m. En regardant mieux (de plus près), j'aperçus une fenêtre. Enfin, un trou dans le bois. Mais quelquechose m'intriguait. Pourquoi une branche rentrait dans la cabane par ce trou.
"maman? pourquoi ya un trou?
-eh bien mon fils...tu sais les trous, il en faut..sinon, disons que si il n'y avait pas eu de branche tu ne seras pas né...
-oui mais a cause de ca, ya plus de place dans la cabane.
-hein quelle cabane?"
Elle leva les yeux et...
"aaah la cabane
-anthony?
-non, la cabane s'appèle Marie-Louise Joséphine du compte de cristallina. C'est ton père qui l'a baptisée ainsi.
-tu te rappèle de la cabane mais pas de mon nom?
-la cabane porte un joli nom faut dire.
-t'as oublié mon nom parce qu'il était laid?
-fais pas chier avec ton nom, tu n'as qu'as t'en trouver un.
-bon, alors a propos de la branche.
-aaah, c'est pour avoir les feuilles a portée de main, c'est tres pratique pour sessuyer le cul"

Ma mère m'apprenait les manières de base essentielles pour vivre bien et confortablement. Je la regardais, en train de ramasser les brindilles sur le sol de la cabane. Je voyais ses jambes. De la sueur. Putain d'hauteur a la con, on aurait pas pu la construire encore plus haut la cabane encore. aaah, j'y pense, pour le sport. En fait, mes parents étaient des génis, et je décidai de devenir comme eux.

"dis maman, c'était qui papa?
-ne m'appele pas maman
-pourquoi-
-parce que.
-d'accord."
"-dis maman, c'était qui papa
Bim upercut, une de mes insicives transperce ma lèvre inférieure, je suis violamment projeté contre le mur de la cabane. Je casse le mur de la cabane, je suis dans les air, je vole je vole!!!! je bats des bras! je vole mais moins. je bats des bras! vite! toujours plus vite! Je me fracasse par terre. Je gis tel un pigeon asmathé au bazooka. Une flaque de sang se répend autour de ma tete applati sur le sol. Je le sais, je sens le liquide chaud qui se repend dans les oreilles. C'est la deuxième fois que je vois le ciel. Mais ou était passé ce faucon? J'essai de bouger. Je vois des plumes qui tombent sur moi. Je regarde a gauche. PUTAIN DE FAUCON!!!! il essaie de se reproduire, dans mon oreille. je lui choppe le coup, je sers très fort, je suis very furious, jvais lui faire les plumes. Et soudainement, j'entendis un cri de plus en plus fort:
"kROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOM!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"
Je levai la tête et voyais ma mère, les cheveux aux vent, tenant une épée a deux mains, pointée vers moi, elle venait de la cabane, elle avait sauté pour me venger du faucon.
Elle me transperce le bras. Le faucon se tire. Désormais, je devrais porter l'épée de la main droite.
"putain mère, tu m'as fendu le bras en deux
-ta gueule, c'est rien. Un peu de mercurokrom et ca ira."
"dis,mère
-mère
-de?
-bouze
-hein?
-de?
-bouze"
[...]
Cette conne me transperce l'autre bras. Bon, jferai ce que je peux pour tenir une épée. Je sais, je la tiendrai avec les dents!!!! Ah ba non, mon insicive est restée coincée dans la lèvre inférieure, je ne peux plus ouvrir la gueule. En fait, je n'aime pas ma mère. Elle n'a rien fait d'attentionnré, elle se fout carrément de moi.
"mère, tu m'aimes?
-non
-pourquoi?
-t'es laid
-pfff, j'aurais préféré connaitre père.
-je préfèrerais le voir a ta place.
-quel est son nom?
-charli
-ou est-il?
-même si je te le disais, tu ne serais capable de le retrouver
-mais ou est charli bordel!
-il a quitté la foret, il est fait prisonnier dans les landes de sidimotes.
-si je le délivrais, tu m'aimerais?
-non"

Une lumière jailliscante dans l'obscurité des tréfonds de ma tête jaillit:
ta mère ne veut pas que tu ailles sauver ton père car tu serais fait capturé. En fait elle t'aime, mais ce n'est pas dans les coutumes de montrer ses sentiments, il faut paraitre fort, vigueur et robustesse. Et si elle vient de détruire les deux bras, c'est uniquement pour se venger de l'absence de ton père.

"Mère, pourquoi ne vas -tu pas sauver père?
-il m'a dit qu'il s'échapperait tot au tard, alors j'attends son retour"

Apres avoir appris a bouffer des tripailles de sanglier, faire une cabane, et des trous avec la tete dans la cabane aussi, je décidai d'aller a la rencontre de père et de le sauver, alors peut etre ma mère n'aurait plus a paraitre forte et pourrait enfin me montrer son amour. En plus, je connais même la technique des feuilles de chène pour me torcher le cul.

"Mère, comment s'appele mon père, je vais le délivrer
-baka, reste ici
-ou ca une vache?
-en fait va-t-en, t'es laid et idiot"

Une larme coulait de ses yeux. Elle prit une feuille de chène et essuya sa peau. Les végétaux c'est bien. Mais béjito, c'est mieux, c'est jap. Alors que je m'attelai à partir (les bras aussi), ma mère posa sa main delicatement derriere ma tete, me souris, je lui rendis le sourir, j'étais heureux, vraiment, je voyais enfin le visage heureux de ma mère, puis elle me mit un master coco! Si tu ne me ramene pas ton père, je te tue.

Je laissai alors ma mère seule dans la foret, avec la cabane au fond du jardin .

ikse.

Tu peux parler des fautes !!! XD

toi avoir une lumière dans la tête ? tu te fous de nos gueules ou quoi ? XD

Bon sinon, j'aimerais trop connaitre ta mère elle a l'air super cool !
J'aime bien les passages tu lui poses une question elle rep pas tu lui reposes elle te marave XD

Je n'ai qu'une chose à dire...VITE VITE LA SUITE hihi ^^

Faudra que tu me présente ta mère...qu'elle m'explique quelques tuyau pour bien te corriger hihi ^^

ôh putain t'es encore plus atteint que je ne le pensais...
Mais c'est trop bon !!! Je kiffe grave le bejito c mieux que vegetaux, c jap XD mais looooooool t'es trop con mais t'es grave doué pr l'être XD

*respect*


waouhhh Rach laisse tomber les yeux de labrador... on me ft des yeux comme ça moi je craque o_O change vite ton avatar !!

puis après Archess elle va me taper si je dis que tu as de beaux yeux... mais de toute façon c'est elle la plus belle (comment je me suis rattrapé j'assure grave XD)

Glad... Je suis ton père...

*respire bruyamment*

XDDDDDDDDDDDDDDD

Lol heboh !
Fais gaffe par la suite il apprend que son père a eu les couilles coupées et qu'il ne peut plus bander .... t'es sûr d'être son père ? XDDDDDD

Et si t'es son père amène moi sa mère !!!!! elle a l'air trop cool XD

Chapitre 1

The sun is shining. J'ai finalement trouvé mon nom. J'ai décidé que je m'appèlerai Gladiatorusrex, même si on m'appèle plutot Glad, pas très joyeux non? Depuis trois ans j'ère a la recherche des mon père. Je me sens pres a affronter quiconque se mettra en travers de mon chemin, j'ai deja coupé quelques tetes, tranché quelques paires de couilles et transpercé des mouches qui virevoletaient autour de ma tete. Je me dirige vers le village de chouba (K). On m'a dit que c'est un repère d'espions et que je pourrai peut être sous-tirer des informations là-bas. Allez pumba avance! (pumba c'est ma mule elle me porte sur son dos depuis le marché aux esclaves). Nous y voila enfin. Le village caché de chouba (K).

-Ola intru que fais tu ici
-Je m'appèle Gladiatorusrex
-il n'empeche que tu es intru ici
-non moi c'est Glad!
-oui, mais t'es toujours intru

shling, je degaine ma lame de mon fourreau.AAAARGH mon pouce!!!!
-aaaargh tom pouce
-c'est de ta faute je vais te planter! KROOOOOOOOOOOOOM!!!(cri d'invocation) Pumba! en avant!

*transmutation*
L'espèce de facochère ailé avec le dos courbé à cause du poids, vraisemblablement de mon cul, commence à se transformer. Il devient droit, sur deux pattes, une queue lui sort du cul.

-Sir-Krom ! au taquet! Pour vous servir Ô votre excellence divine dont le Q.I n'a d'égal sur terre.
-ahahah, lui une tête pensante?
-écoute, je n'aime pas la violence, mais dis moi ou est mon père ou tu mourras

Il n'eut pas le temps de répondre. Krom avait deja sorti la hache de son calbut. D'un coup circulaire il l'avait over-decapited dans une effusion d'hémoglobine volant telle l'odeur de la flatullence née se répendant: un peu partout.

-PUtain! Krom!
-quoi?
-de quoi quoi
-quoi de quoi quoi
-t'es con krom! maintenant il est mort
-et alors
-je voulais l'interroger, mais regarde comme il hebo, il n'est plus bon à rien, à part servir de nourriture avariée aux morbac!

Alors que krom reprenait sa forme originelle, de part et d'autres des maisons aupravant vides bornant la ruelle principale toute aussi vide, commencaient a sortir des brigandins.

Glad chevauchant pumba



xD

-Diantre! des brigandins arrivent pumba!...pumba?Ou qu'il est passé . PUUUUUUUUUMBAAAA!!!!!!!!
-grrrrrrrr
-ta gueule le brigandin
-PUUUUUUMBAAAAA je vais te faire la peau!!!si tu réponds pas je te tue
-héhé comme si j'allais te répondre
-grrrrrrrrr
-putain ta gueule le brigandin tu vois pas que chui entrain de préparer ma retraite la?!!Attends un peu, je sais que t'as envie de chauffer ta jambre branlante, mais tu feras ca quand jmenfuirai
-c'est pas un brigandin
-grrrrrrrrr
-ah?
-c'est mon précieux, quand je vois ses yeux je suis amoureux, quand j'entends sa voix, je suis fou de LUI
-...
-grrrrrrrrrr
-bon d'accord, mais reconnais que ses cornes sont charmantes
-d'accord pour les cornes, mais pas autant que les tiennes mon chou
-En avant VIII-Bouftou-VIII térasse cette nuée de brigandins!

La terre tremble. Je ressens le grondement du sol. L'atmosphère est tendue, devant moi, les brigandins, je les pointe du doigt, ils sont nombreux!! Oh my god, ils ont tué VIII-bouftou-VIII bande d'enfoirés!. arrrrrrrg macarena! sur ma droite le gars byzarre avec les cornes il est en pleure. Un accès de colère s'empare de moi, concentrant mon énergie spirituelle et physique de mon centre de gravité et de mes bras au bout de l'épée, je m'élance sur la gauche (bah oui le cornu devant moi, faut suivre). Headshot! ou plutot dechiquetshot. Je décapite le deuxieme qui s'était profilé dans mon dos d'un coup de la poignée. Ca ne suffit pas, quand je me débarasse d'un d'autres m'attaquent, ils m'encerclent que faire! Je suis perdu!

Les zombis ne font plus de bruits. Ils ne bougent plus.
-Je suis un dieu, j'ai levé les bras, je les repousse!MUHAHAHAHA
-...

Tout d'un coup nous sommes tous baignés dans une pénombre, je me retourne et derrière le gars a l'excroissance cranienne, un immense dragon jaillit! Ses écailles rouges sang reflètent parfaitement l'envie de tuer de toutes part. Ses yeux sont d'un flamboyant, je ne peux plus oter mon regard, je suis térassé, je ne crie plus. Heureusement que j'ai vu ses narines, d'ailleurs les zombis aussi, ils commencent a rigoler.

Le dragon n'aima point notre attitude et nous fit tous rotir de son haleine putride. Les zombis qui n'avaient pas beaucoup de peaux n'en avaient plus, moi, je n'avais plus d'armure, plus de cheveux, mais ca repousse, mais surtout, plus d'épée

-Espèce de fou cornu! Pourquoi jouer avec ce démon rouge
-Jeune impétueux, remercie moi plutot de t'avoir sauvé la vie
-je n'ai jamais demandé d'aide
-pff c'est toujours pareil quand on veut aider quelqu'un on se fait engueuler. Tu m'as saoulé, vas mourir tout seul, boulet

L'homme disparu le temps d'un clin d'oeuil, aussi furtivement qu'il était apparu. Pas comme le dragon, parce que lui, si je ne l'avais pas vu venir, je l'ai vu repartir...

Tous le village était déserté, aucun témoin potentiel, je continuai dès lors ma route, flageller pumba et retrouver mon plus fidèle ami, ma lame.


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Non pas mon rasoir, ma lame, il faut suivre

Chapitre 2

A la recherche de ma lame!

Je marche.
Un pas après l'autre.
Une jambe après l'autre.
Je tombe.

Ma jambe me lance horriblement, mon ventre me parait bien pale, je suis aux frontières de la mort, et sur un sentier, c'est pas la mort d'or. Que s'est-il passé. Etait-ce un zombi qui m'a infecté? ou le souffle putride du dragon. Dans les deux cas, je n'aurais pu tuer ni l'un ni l'autre. Et qui était ce fameux homme, comment a-t-il fait pour survenir de nullle part. J'aurais du m'engager en junglescout quand je vivais avec ma mère. Je ne dois plus être aidé, je ne veux plus être aidé
-je jure sur ma la douleur de mon épée qui va transpercer ma jambe que je ne fuirai plus

Alors que je m'appretais a me transpercer la jambe, en signe de ma volonté à devenir fort, plus fort, comme un gros caillou, un rock, fort...

Je n'ai plus d'épée T_T

Puisque je ne pouvais me relever, je rampais, rampais...
un demi-mètre après l'autre.
bras après bras.
.
[HBG]bah oui jpeux pas tomber plus bas XD[/HBG]

-hey
-...
-heyyyyyy

je vois une silhouette, son visage est au dessus de ma tete, mais je ne distingue pas bien les traits, le visage est loin, C HAUT

-je t'ai aperçu au bord d'un sentier
-mon épée, mon string, mes cheveux, ou suis-je?!!
-tu n'avais pas d'épée lorsque je t'ai trouvé, des amis m'ont aidé a te transporter ici afin que nous puissions te soigner.
-me soigner?
-oui.
-ME SOIGNER?
-oui.
-MAIS JE N'AI AUCUN PROBLEME MENTAL QU'EST-CE QUE C'EST QUE C'EST ENDROIT DE FOU?!!!!
-une prison.
-une prison? pourquoi suis-je en prison?
-vous êtes potentiellement dangereux, mais afin que nous puissions vous soigner...

Me soigner, j'enrage, mon crane chauffe, terriblement, je me presse les cheveux. Plus de cheveux, ce n'était donc pas un rêve. erf, la lumière du jour traversant la minuscule ouverture dans le mur me crame le crane.

Appliquant ma main sur mon crane je me rappele :

-Et ma jambe droite qu'en est-il?
-je vois que vous êtes revenus à la raison

Je voulais la décapiter mais mes membres étaient lourds, seul mon bras droit pouvait bouger afin que ma main effleure légèrement et sensuellement mon cran. mmmm quelle sensation, le passage de mes doigts sur mon crane m'enhivre, mes sens sont exaltés, je me sens calme et en même temps impulsif, mes pulsions sont a leur apogée..mmmmm..je gratte par ci, par la

-GRRRRAAAOUUUUUU
-allons allons, vous venez des cavernes pour vous exciter avec votre crane non?
-non, par dela les montagnes, de la moutain djeungueule.
-je connais pas.
-moi pas.
-Mais vous venez de là..
-oui, mais je connais pas pas
-ah vous connaissez votre père?
-non.
-ah...je vois
-uniquement votre visage pour ma part. Que fait une femme si charmante en prison?
-elle vous apporte uniquement les soins nécessaires, car lorsque je vous ai trouvé votre jambe était dans un très mauvais état.
-je m'en doutais
-qu'avez vous donc pu faire pour vous abimer ainsi
-d'abord, j'ai dégainé mon épée et me suis semi-coupé le pouce, des brigandins m'ont attaqué et un homme cornu a invoqué, je pense, un dragon. Les brigandins ou le dragon m'ont infectés. Même si les brigandins auraient eu raison de moi, cela était du a leur nombre, mais je ne pensais pas qu'il existait d'hommes capables d'invoquer de telles créatures...
-vous devez parler d'un osa.
-un osa?
-il y en a pas mal dans cette ville de Strub
-Il y a tant de personnages si puissants ici?
-n'exagérons rien voyons, l'osa Strubien est impuissant. parmi les 11 races répertoriées, ce sont les moins forts...
-et je n'ai même pas été capable de résister à son invocation, je dois devenir fort, plus fort, je veux pouvoir tuer quiconque et peser chaque vie dans ma main, que ma lame puisse térasser n'importe quel guerrier de ces 11 races
-tu ne m'as pas l'air dangereux, j'en réfèrerai à mes supérieurs pour qu'ils te libèrent.


la silhouette disparu et quand je me redressai je réalisais que j'étais enfait allongé, en inspectant le décor autour de moi je vis:
je vis :
des patates!

AAAAAAAAAAAAAAAAAH C'EST BON LES PATATES!!!!!!!!!!

je m'empressai de les éplucher pour les engloutir